Éditions Douro "Par la lecture, on s'absente de soi-même et de sa propre vie." Alphonse Karr
Éditions Douro "Par la lecture, on s'absente de soi-même et de sa propre vie." Alphonse Karr
Juillet 2021
À quelques détails près, la vie de Noa avait toujours été des plus banales. Mais lorsqu’au début de l’été, elle découvre l’existence des Régulateurs, tout bascule. Alors qu’elle apprend peu à peu à apprivoiser ce nouvel univers, le célèbre Régulateur de Feu dont le nom fait tressaillir tous ceux qui ont déjà eu la malchance de le croiser, tente par tous les moyens d’éliminer le roi des Régulateurs afin de prendre sa place.
juin 2021
Ces chroniques se veulent des réflexions sur notre temps où déjeuners et dîners constituent autant de prétextes à des anecdotes. Des tranches de vie suspendues entre l’ici et l’ailleurs....
Aussi loin que remonte sa mémoire, Emilie Panisset se souvient avoir voulu faire de l’écriture son métier, sa seule passion, sa respiration. Alors, comme c’est souvent le cas, elle s’est laissée aller à poursuivre des études qui, pour nombre d’entre elles, n’étaient pas la voie toute désignée pour aller à la rencontre de son désir
Ce texte sensible, La maison loin de la mer, Fragments I, se veut intime, voire confidentiel, dans la discontinuité des souvenirs, avec le parti pris intéressant de l’alternance prose, poèmes. Poésie-journal ? précisons reconstruction intemporelle à partir des expériences fondatrices de l’enfance et de la jeunesse
Après une pandémie qui a éliminé plus de la moitié de l’humanité, John et Marie se retrouvent dehors, nus, démunis de tout. Dans une France dévastée, où il n’existe plus de règles,
Fin 2016, l’entreprise que ma femme et moi avons dirigé pendant 28 ans est passée en liquidation judiciaire. Onze jours plus tard, à la suite d’un long combat contre le cancer, elle est décédée. Je suis parti de Londres pour attirer l’attention, transmettre des messages au monde et partager des passions.
La mondialisation prise pour objet dans le présent travail est celle des gens ordinaires ; ceux qui s’inscrivent dans des configurations mutantes en passant d’un contexte à un autre et en transitant dans des espaces transfrontaliers générateurs de faits sociaux transnationaux.
Au Canada, la Charte des droits et libertés vient d’être amendée afin d’inverser la présomption d’innocence en matière d’agression sexuelle, et les femmes contrôlent l’appareil judiciaire à tous les niveaux. C’est dans ce contexte qu’un homme d’affaires réputé est accusé, puis défendu bec et ongles par une avocate...
La jolie Abricot, rescapée de la virée mortelle du marieur fou, reprend du service et embarque ses chéris dans le monde du cinéma argentique, qui fait de la résistance : évasion, cavalcade entre deux flics, course poursuite à travers la France avec le buste au nez cassé d’Henri Langlois sous le bras…
Cette histoire se passe quelque part sur l’une de ces îles paradisiaques, faites de plages de sable blanc, de mer turquoise et de forêts verdoyantes. Des petits bouts de terre posés au milieu des océans à la manière d’infinis points qu’un peintre aurait parsemés sur sa toile afin de sublimer son œuvre.
Sonder ce qui édifie un amour sur la corde glissante des émotions quand après une rupture amoureuse il est impossible d’oublier. « Il se compose une histoire, un chemin d’être, dans sa mémoire...
Les mots de Gabrielle Jarzynski (illustrés par Smith Smith) sont en couleurs. Ils sont du bleu dont on fait le mal. Mal d’aimer et bonheur du mal. Connaissez-vous le bleu pharaon ? C’est un bleu-turquin venu de l’Égypte ancienne, un bleu à paupières qui s’applique sur les rêves… Fermez les yeux et suivez Gabrielle dans les pleins et les déliés de sa calligraphie d’outremer… Allez, c’est délicieux ce ciel bleu jusqu’au bout du bleu.
Chaumont en Haute-Marne, ressemble à la plupart des petites villes de province : quelques lieux historiques pittoresques, la campagne aux portes de la Cité et un cadre de vie rassurant. Lorsque cette relative tranquillité est mise à mal après le meurtre sordide d’une jeune étudiante, c’est une course contre la montre qui s’engage et qui va entrainer un policier chaumontais et une agente du FBI
Ce roman est un roman d’amour. Pour nous parler de l’amour de l’Autre, Régine Laprade nous raconte une jolie histoire que le docteur J-F Saint-Bauzel, psychiatre, commente ainsi : « Régine n’est pas tombée dans le piège des nids de coucou ni dans la critique du système arbitraire de l’enfermement.
De retour, sur les lieux délabrés de sa jeunesse, Paul n’a plus que son frère cadet comme seule famille. Ce dernier n’est plus le même depuis son grave accident et les six mois de coma qui ont suivi. La mort amoncelle un cortège de drames au cœur d’une ville sans identité ravagée par les désastres économiques et tout semble converger vers eux.
Mai 2021
En ces années 1830-32, la nation reste divisée entre républicains, royalistes et nostalgiques de Napoléon. Et surtout, qu’il s’agisse de Paris, Montmirail, ou de La Ferté-sous-Jouarre, le pays n’est toujours pas apaisé. De plus, la France doit affronter une terrible épidémie de Choléra
«Décalage [s]», car dans ces nouvelles, un petit rien nous fait sortir de la réalité et du quotidien : le bizarre, l’étrange, une dose de surnaturel, un soupçon d’imaginaire, quelques graines de mystère. Un petit pas de côté qui peut être tour à tour : nostalgique, (in)temporel, fantastique ou loufoque avec des personnages qui se cherchent,
Avril 2021
Depuis son enfance, Angela possède
un « don » très particulier. Dès qu’elle s’endort, elle se réveille dans les rêves des autres.
À l’âge adulte, devenue très solitaire et sauvage, elle commence tout juste à accepter cette singularité et tente de mener un train de vie plus ou moins équilibré.
C’est alors qu’elle va rencontrer Guillaume, un rêveur qui contrairement aux autres, arrive à la voir et à lui parler mais qui ne la quittera plus la nuit.
Ce jeune homme est un mystère. Il va casser sa routine et sa quiétude, ce qui l’agacera au plus haut point.
L’éclosion des pivoines poèmes
Dans la Mythologie grecque, les nymphes se protégeaient des regards indiscrets en couvrant leur nudité de pivoines. Fleurs de pudeur et de honte, elles étaient dotées du pouvoir de guérir toutes sortes de maux, ceux du corps comme ceux de l’âme, et sont toujours utilisées dans les médecines traditionnelles chinoise et japonaise.
Dans ce récit, l’auteur évoque le parcours initiatique d’un jeune homme en quête de sa raison d’être à partir d’une cellule de prison où il a eu vingt ans.
Tiraillé entre une profonde aspiration à vivre un idéal élevé et le besoin vital de guérir les blessures de son enfance, il confie dans ces pages parfois bouleversantes, les coulisses intimes d’un itinéraire peu ordinaire.
Avril 2021
Le récit raconte comment quelques souvenirs ont modifié le déroulement d’une session de pratique de méditation bouddhiste effectuée au sein d’un groupe dans un temple.
Je suis allé me placer le long du cercueil posé sur des tréteaux devant moi. De l’autre côté, vus de face, à trois mètres de là, la famille et quelques amis étaient présents. Il y avait aussi cette étendue des autres tombes tout autour. J’aurais préféré qu’il n’y en ait aucune, que l’on soit les premiers. Et puis voilà, c’est notre tour d’être ici, nous n’y pensons jamais, ou furtivement, et l’on finit par y être.
Joël Dranthia est un économiste passionné de voyages. Il est originaire de 3 continents (l’Europe, l’Afrique et l’Amérique centrale), ce qui lui a donné une appétence pour le métissage des cultures. Passionné du Japon, de la Caraïbe et d’Afrique, il s’intéresse aux traits communs entre les cultures à travers la poésie. Outre la photographie, ses autres centres d’intérêt sont l’écriture, le cinéma et la musique. Depuis quelques années il écrit de la poésie, à la recherche de l’humanisme enfoui dans l’âme humaine.
« Je suis une bouée à la mer qui dérive, qui erre. Je suis ce vieux livre oublié sur une étagère et qui prend la poussière. Cependant, je reste à portée de main pour ceux qui désespèrent. »
C’est un extrait de l’œuvre de Simon, il a écrit ça et beaucoup d’autres choses, mais ses histoires ne proviennent pas toutes du farfelu farfouilli de son imaginative caboche.
En effet, Simon a une muse étrangement particulière : son Eidôlon, son reflet dans le miroir.
Avril 2021
Brûlot incendiaire, lors de sa première parution en 2006, ce livre fut brûlé. Au sens premier du terme. Réduit en cendres par les flammes qu’avait allumées quelque esprit troublé par ce qu’il y avait lu. Présence maléfique pour une femme que Monsieur, le personnage central de ce texte. Incarnation du mal si insupportable que, seul, le feu pouvait détruire.
Caroline et Patricia se sont rencontrées dans le cadre de cours en ligne sur l’écriture. Patricia n’y trouvant guère son compte a lancé un appel à écrivain/e intéressé/e d’écrire quelque chose à deux. Caroline a répondu et, après quelques échanges, elles ont décidé d’écrire « L’alphabet des horreurs ». Pourquoi pas un alphabet plus positif ? À cause d’une pièce déjà écrite par Patricia, « Jeu d’alphabet ». C’est ainsi, grâce au jeu, que Caroline et Patricia vont se découvrir et, surtout, exprimer des idées, des opinions, dans la bonne humeur.
Le jeu auquel ce sont livrées les auteures se termine par une nouvelle inédite.
Nourrir la sève d’un combat inutile
A quiconque à des yeux pour lumière
Bâtir des refuges de fortune sur des rocs aériens
Et se découvrir alors dans son plus pur inachèvement
Pour qu’enfin, s’élève notre propre point de chute
Sont les différentes voix de douceur et d’incertitudes
qui se meuvent au sein de ce recueil.
Mars 2021
« C’est une évasion à moi, un ailleurs. La poésie d’Éric Costan oscille parfois entre littérature et philosophie, entre méditation et crucifixion, entre ce qui se sait et ce qui refuse de tomber sous le sens, et pire, sous le bon sens ».
Jean-François SAMLONG - Ecrivain
La saleté est partout depuis toujours, mais nulle part autant que dans les familles, pour commencer. Dans laquelle à peu près tout le monde qui y a trempé trempe encore et fait tremper tout le monde, pour finir. La famille, la trahir, l’accuser : déréliction assurée. À moins d’en rire, d’un rire aussi sale que la famille elle-même l’est. Mais plus personne pour, le respect l’a emporté partout. Si Jugnon, avec En ordre de Bataille, théâtre. Théâtre tout droit venu de… Les noms n’abondent pas : Müller, Bernhard, bien sûr. Plus directement : Jarry & Beckett. Jarry pile sérieux, Beckett face farce. En ordre de Bataille : à mettre entre toutes les mains de tous les vieux de tous âges. Pour en finir avec leurs vénériennes vénérations familiales.
Michel Surya
Il est des individus dont la capacité de résilience est innée. Magda a suivi son mari à travers le monde, une séparation change brutalement le cours de sa vie.
Mère de deux enfants, elle se trouve dans l’obligation de chercher un emploi.
Elle se révèle une habile femme d’affaires, devient une référence dans le monde du luxe.
Après avoir fait ses preuves à Paris, décide de tout quitter. Elle part en Russie dès la chute du communisme, ouvre à Moscou la première boutique de haute joaillerie française, agrémentée des prestigieuses marques de montres suisses.
Ce livre est l’histoire authentique d’une femme, véritable aventurière, qui a su avec courage et obstination braver tous les obstacles.
Après avoir appris la mort de sa mère dans des circonstances équivoques, un homme, obsédé par l’idée d’être né à minuit, prend un train à la même heure à Paris-Gare-de-Lyon. Un train sans destination dont les seuls passagers sont un contrôleur fou et agressif, le fantôme d’Edith Piaf et un clown triste et mélancolique. Le convoi nocturne semble traverser le temps, les rêves et les fantasmes, tandis que l’homme y revit des pans entiers de son passé. Mais vers où le mène cette vieille locomotive à vapeur ?
Murielle Compère-Demarcy (qui signe aussi parfois de son pseudo d’écriture MCDem.) a commencé à vouloir publier en 2014 après des études de Lettres et de Philosophie et avoir exercé le métier de libraire. Elle est aujourd’hui professeur-documentaliste. Ses dernières parutions : Alchimiste du soleil pulvérisé (poème pour Antonin Artaud), Dans les landes de Hurle-Lyre, L’écorce rouge suivi de Prière pour Notre-Dame de Paris & Hurlement et Voyage Grand-Tournesol chez Z4 éditions.
Cupidon s’en alla au printemps. La mort d’une belle histoire surgit à la saison des éclosions. Cette poésie lyrique déroule le fil effiloché de la passion, le fil cassé de la rupture, cueille les précieuses lumières d’un drame intime, le passage du soleil à la nuit. L’amour fut, les jours le défirent, et cela Christophe Bregaint le narre sans rage ni charge, avec subtilité et sensibilité. Le sublime soudain éclata en brisures, mais la douleur affleure sans heurt, le chagrin mouille les mots sans déluge. Où était la faille ? Où le présent était-il déjà inscrit ?
Février 2021
Ces quelques pages racontent au jour le jour une expérience intime, celle du confinement imposé par l’épidémie du Covid 19 en mars, avril mai 2020.
Je n’ai pas voulu faire acte de littérature, ni de diariste, ni de journaliste de l’intime.
Il s’agit de simples chroniques parfois drôles, parfois acerbes, parfois émues que j’ai postées tous les jours sur Facebook. Elles n’obéissent à aucun projet sinon à celui de trouver quelque chose à dire, alors que le rien était notre quotidien. Aucune unité de style ou de forme. Telle n’était pas mon intention. D’ailleurs comment parler de cohérence alors que ce que nous vivions tenait de l’absurde le plus échevelé. J’ai donc écrit presque par jeu, pour que mon temps passe plus vite. D F
Kamel est un homme très réservé, certes, mais ambitieux. Il sait où le mènent ses pas. Commerçant en électroménager, sa vie est toute tracée : une femme qu’il aime, des enfants adorables…
Mais, ça, c’était avant qu’il ne se fasse enlever par un groupe d’hommes inconnus qui lui promettent immédiatement la mort… À
laquelle il réussit à échapper.
Quand il quitte le pays pour échapper à cette mort certaine que lui réservaient ses ravisseurs, à Alger, il ne savait pas qu’à Tripoli, il allait être confronté aux mêmes éléments, à quelques variantes près…
L’enquête menée par l’inspecteur Ramzi, du commissariat central de Tripoli, ne s’avère pas des plus faciles, d’autant que des pressions venues de haut lui intiment sans cesse de classer l’affaire.
Peut-on encore écrire et publier des textes érotiques en 2020 ?
Peut-on, bien modestement, essayer de s’inscrire dans une tradition littéraire qui a, depuis longtemps, ses lettres de noblesse en France ? Il serait facile de répondre oui et pourtant, ces questions peuvent se poser en cette époque de passions tristes ; à l’heure où notre société est laminée par une vague de censure et de puritanisme d’une rare violence, conséquence du politically correct américain. Un coup d’oeil sur les murs de nos villes, de plus en plus réquisitionnés par les néo-féministes, suffit à comprendre que la chasse à l’homme est ouverte, que ses désirs sont de plus en
plus condamnés et repoussés dans le champ de la perversion. En ce sens les nouvelles rassemblées dans cet ouvrage n’échappent pas à une intention polémique. Elles expriment, à travers leurs différents canevas, une révolte contre cet état de choses étouffant.
Janvier 2021
Plus longue sera ta vie donne voix à la mémoire politique, souvent non officielle, des gens ordinaires, patriotes convaincus néanmoins, sous le règne de Hassan II, en mettant au premier plan le récit de rapatriement du corps d’un immigré marocain, relaté par son frère resté au pays.
« La passion dévore tout et elle ouvre de nouveaux horizons. Elle sort aussi le frileux de l’ombre pour lui permettre d’affronter, sans peur, les brûlures du soleil. »
Pourrait-on trouver des points communs entre un prêtre, qui s’est pris de passion pour un roman de Zola, un soldat amoureux pendant la guerre de 14-18, un cycliste malchanceux sur le bord d’une route, un photographe égaré à proximité des calanques de Piana, un jeune voyou planqué en compagnie de sa petite amie, un mangeur de nuit mégalomane, et même un piano qui se sent en exil sur un quai de gare ?
Nous étions aux alentours de 2350. La terre avait changé après la «catastrophe», tout en restant la même. C’était la fin de l’ère technologique. Des sortes de mutants, pourtant encore humains, étaient apparus au sein d’une humanité régressive.
Alexandre, herboriste solitaire, fuyant ses contemporains qui, comme lui, étaient les survivants de ce bouleversement, rencontra un jour l’inattendu sous la forme d’un enfant, un berger doté de capacités hors du commun ; rencontre qui allait brutalement changer son destin.
Publications 2020
Si je t’écris ce soir de Vienne, j’aimerais bien que tu comprennes… chantait Barbara. Chez la chanteuse de Minuit, les zinzins, souvent, rappellent les lettres. C’est peut-être cet esprit particulier, intime, de la correspondance qui aura touché Louise et Dorine. Lettre ou bien chanson, les deux se frôlent pour approfondir la portée d’un message – qui chante sa peine se console.
Alain est un jeune journaliste, toujours avide d’un scoop, curieux et attentif.
Alors qu’il remontait l’avenue Victor Hugo, il se dit qu’il avait encore le temps de faire quelques pas dans le quartier avant de regagner la rédaction.
La petite fleuriste nettoyait ses vases… le soleil brûlait déjà, belle journée quand… devant lui, s’avance un homme.
Leurs regards s’échangent. Plus rien ne sera comme avant. Mais qui est cet homme qui va bouleverser sa vie ?
.
Vous trouverez dans ce livre un écho à vos propres ressentis et expériences, quelques notes de légèreté, un soupçon de références poétiques, beaucoup d'authenticité et d'innocence.
Ce recueil est constitué comme un parcours initiatique, à la fois personnel, philosophique et universel. À travers différents types de récits poétiques (vers libres, formes fixes, récits de rêves...
La narratrice traverse une crise de la quarantaine à l’occasion d’une grossesse tardive.
Durant ces neufs mois, elle va rencontrer des hauts et des bas qui la conduiront à effectuer un profond travail d’introspection.
Elle aura l’occasion de réfléchir sur elle, mais aussi sur les membres de sa famille, son histoire et ses difficultés à assumer celle qu’elle est et ses choix de vie ; Le tout, dans une société qui lui paraît bien souvent hostile.
La laisser pour plus tard cette vaisselle
accumulée
qui te réveille chaque matin
d’un bruit de ferraille
effondrements de rêves dans
l’évier en inox.
Dans l’euphorie du développement des radios libres, des année 80, un trentenaire s’obstine à présenter une candidature pour une radio FM, au nom de la communauté qu’il souhaite représenter, à Paris.
Entre une passion amoureuse, des conflits internes, avant et après l’obtention de l’autorisation d’émettre, des suspicions de collusion impliquant des membres et fonctionnaires de l’autorité de régulation avec des personnalités connues, les fins limiers de la police judiciaire du 36 quai des Orfèvres, puis la DGSE
Un marin amateur, mais averti, prend en charge le convoyage en solitaire d’un voilier, pour les Etats-Unis, au départ de la Bretagne.
Il décide de raconter, dans un journal de bord personnel, comment cette expérience se déroule, et dans quelles circonstances il a choisi de faire cette traversée.
Il nous livre ainsi un triple voyage.
Le temps s’accélère, les années s’entrechoquent, se bousculent. Le besoin de se retourner sur mon passé s’est imposé naturellement. Il ne s’agit point de dresser un bilan, ou même un état exhaustif de soixante et quelques années, mais simplement de me raconter, de me retourner sur ce passé pour mieux l’appréhender. Cette vie, que j’ai menée en évitant certains écueils, en affrontant les méandres de l’existence, se poursuit au gré des événements, des rencontres, des émotions, qui jalonnent ma route.
Jacques Whitehead, agent britannique du MI6, en fin de carrière, habite à Los Angeles depuis 30 ans.
Il vient d'écrire un roman consacré à son ami Adrien Mesquita, ex-journaliste et romancier célèbre.
Il a connu les principaux personnages, d'abord en Algérie, à la fin de l’année 1978, l’une de ses premières missions à l’étranger, lors du décès du président Houari Boumediene, puis en Europe, où il rencontre les autres, tous ceux qui avaient eu un rôle important dans cette histoire.
Jacques Whitehead, agente especial do MI6 britânico, em fim de carreira, vivia em Los Angeles há 30 anos.
Tinha recentemente concluído um livro sobre parte do percurso de vida do seu amigo Adriano Mesquita, ex-jornalista e escritor famoso.
Conhecera as principais personagens do enredo, primeiro na Argélia, em finais de 1978, no decorrer de uma das suas primeiras missões no exterior, logo após a morte do presidente Houari Boumediene, e posteriormente na Europa, onde encontrou e entrevistou os restantes.